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[Évènement forum] Racontes-nous une histoire !

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  • Tout commence par l'histoire d'un jeune enfant a qui le destin ne fît aucune surprise... Ce jeune enfant du nom de Marcus vît sa famille exterminé a l'âge de 8 ans....

    Mais retournons a ce qui nous intéresse... Peu après son départ du foyer familiale qui été totalement ravager avec le sang de sa famille encore frais gisant sur le sol ( détails peu important ) il décida d'entreprendre une quête pour venger sa famille. Un an plus tard il rencontra un maraudeur qui lui apporta son aide car le jeune Marcus n'avait plus que la peau sur les os....

    Le maraudeur... Qui dévoilera son nom a Marcus dans quelques temps lui offrit de la nourriture et quelques pièces de cuivre pour qu'il puisse s'approvisionné plus tard...

    Marcus : Meer..ci monsieur..
    Le maraudeur : Mmmh... Tiens voilà quelques pièces !!

    Le maraudeur fît quelques pas pour s'éloigné mais le jeune Marcus l'arrêta sur sa lancé !!

    Marcus : Monsieur.. Apprenez moi a me battre s'il vous plaît ?!
    Le maraudeur : Pourquoi voudrait tu apprendre a te battre, tu devrait penser a travaillé et te faire de l'argent pour te nourrir toi et ta famille.
    Marcus marmonna : Ma famille est morte.

    Une larme coula du visage du jeune garçon.

    Marcus : Je souhaite me vengé de cette personne alors aidé moi s'il vous plaît !!
    Le maraudeur : Qui est cette personne ?
    Marcus : Il se nomme Altores...
    Le maraudeur : Hmmh... Bon j'accepte de t’entraîner. Mais sa sera difficile et tu va souffrir !!
    Marcus : J'accepterais tout traitement si sa peut m'accorder de vengé ma famille !!
    Le maraudeur : Bien !

    Ils partirent ensemble pour un entraînement long et éprouvant.... Quatre ans passa et le jeune homme devenu très bon dans le maniement d'une épée avais considérer son mentor comme son père au fil du temps et une complicité été née entre ces deux personnes. Marcus étant devenu un jeune homme de 14 ans avait gagné en puissance et en taille !! Bien qu'il y ai eu autant de temps écoulé le maraudeur n'avait jamais dévoilé son nom a Marcus...

    Le maraudeur : Bien, tu est devenu un puissant guerrier. Je pense que tu est prêt a accomplir ta vengeance....
    Marcus : Oui je le pense aussi, je te remercie de tout ce que tu a fait pour moi. Mais il est temps pour moi de retrouvé Altores et de le tué de mes propres mains !!
    Le maraudeur : Je suis fier de toi et je vais t'aider a accomplir ta vengeance...

    Le maraudeur retira sa capuche et dévoilà son nom a Marcus.

    Le maraudeur : Je suis désolé de te l'avoir caché tout ce temps.. Je suis Altores.
    Marcus dit en tremblotant : Comment... Pourquoi m'avoir aider ?!
    Altores : Ta détresse.. Je suis désolé de t'avoir prit ta famille, mais je n'est que fait obéir au ordre du roi...
    Sa n'en pardonne pas mon acte, mais j'ai cessé de lui obéir et je suis devenu le maraudeur que tu a rencontré.

    Dans un élan de tristesse Altores s’effondra et ce mit a pleurer.
    Marcus toujours ébahit par la révélation en rester toujours silencieux.

    Altores : Je t'ai enseigné l'art du maniement de l'épée pour que tu puisse te vengé de mon erreur
    Marcus : Je... Je vais te TUEE !!!!

    Marcus leva son épée... Il resta un petit moment planter dans cette position. Mais il abaissa son épée et se mît a genoux, les yeux rempli de larmes il dit :

    Je ne peux pas, tu ma aidé pendant tout ce temps en sachant que c'était après toi que j'en avais... Tu m'a tout donné, tu m'a redonné la joie de vivre et de savoir que je peux encore trouvé un famille.. Ce que tu a fait pendant toute ces années... Je n'est pas la force de te tué...

    Marcus s'approcha de Altores et le sera dans ses bras. Altores surpris demanda :

    Pourquoi ?! Je ne mérite pas autant d'affections et surtout de ta part...
    Marcus : Je n'en veut qu'a une seul personne.. Le roi pour t'avoir forcé a commettre cette acte
    Merci.. De m'avoir aimé comme ton propre fils.. Car je t'ai aimé comme mon propre père !!

    Après une discussion longue Marcus et Altores décidèrent de créer une rébellion contre la tyrannie du roi. Ils organisèrent le recrutement de rebelles et d'espions pour pouvoir prendre le château d'assault.
    Deux ans c'était écouler après le recrutement et l'armée rebelle s'élever a plus de 150 000 soldats prêt a défaire le roi... La bataille commença au aurore du troisième jour après le rassemblement devant le château. La bataille commença enfin... !!!

    Morts dans tout les coins, pertes de rebelles comme élimination de soldat ennemis... La bataille fait rage et les pertes s’élève a plus de 120 000 rebelles et l'armée royal passa de 200 000 soldats a 50 000 !! Mais avec coup de pousse du destin le jeune Marcus se vît attribuée des compétences hors du commun.

    Un lumière éblouissante fût répandu sur le champs de bataille qui faisait rage, et une jeune et jolie femme descendit du ciel ce qui provoqua l’ébahissement général... La déesse s'adressa a Marcus :

    Jeune Marcus... Tu a bien souffert pendant toute ses années. Je suis la déesse de la destinée, malgré la vie que tu a eu jusqu'à présent j'ai décidé de t'accorder mon aide. Te voilà des attributs de combat qui te seront utile.
    Marcus : Mais pourquoi m'accorder votre aide ?! Demanda t'il surpris.
    Déesse de la destinée : Tu a accordé le pardon a l'homme qui t'avait enlevé ta famille de ses mains. Tu a accepté son repenti car tu le savait sincère et c'est ton coeur pur et juste qui en est la cause, c'est dans cette condition là que j'ai décider de t'accordé mon aide mon enfant.

    Malheureusement les soldats royal avait repris leurs esprits et en avait profiter pour tué les rebelles... Ce carnage fût telle qu'il ne resta plus aucun rebelles ni soldats... Il resta 5 personnes sur le champs de bataille. Marcus, Altores, le roi et ses deux gardes personnels. Altores se jeta sur le garde qui ce trouver a sa porté et un combat fût engager.
    Le garde mourût et Altores s'en prit au second garde, Mais Le roi prit Altores en traitre et le tua !!!

    Marcus : ALTORES... NoooooooooN !!!!

    Marcus s'élança sur le roi mais son garde s'interposa, mais les nouvelles compétences de Marcus fît que le garde fût tué en un coup...
    Le roi se mît a genoux et supplia le jeune homme couvert de sang qui se tenez devant lui :

    S'il te plaît, je t'en prit ne me tue pas.. Je.. Je ne le mérite pas, je suis ton roi après tout..
    Marcus : Des habitants de ces terres ont été tué SOUS VOS ORDRES !!! Ils ne méritaient pas un tel traitement et a présent c'est a votre tour de subir ce que vous avez fait subir au peuple qui avais cru en vous !!

    Marcus asséna un coup d'épée sur le roi et le roi mourût sur le coup... Marcus fût le seul survivant de la bataille et il devint le tout premier gardien d'Artegal !!

    Titre que la déesse de la destinée lui donna.

    FIN
    Dernière modification par Micky-Surfy, 13 03 2013, 12h02.

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    • Chatpelierfuu tu voulais des histoires qui font peur envoi ci!Mais gare a toi et ne loupes pas une seule ligne!!

      C'est l'histoire de deux enfants qui devaient dormir pour la première fois sans leurs parents à la maison. Les enfants était réjouit de ne pas avoir les parents sur leur dos et pouvoir veillé tard. Le plus âgée avait 12 ans et l'autre 10. Donc les parents partirent au alentour de 9h du soir et reviendrais tard dans la nuit. 9h15Les enfants se mirent dans la chambre et jouèrent à un jeu de société. 9h50 Le plus jeune était en train de perdre mais faisait tout pour caché sont embarra et faisait tout pour gagner sont frère. Le grand lui était tout content de gagner, il lui disait d'être fier de son grand frère car il aller gagner les jeux olympiques des jeux de société. Evidement les deux enfants exploser de rire à chaque fois que le grand sortait une blague ou une bêtise comme celle la. Les enfants n'étaient tellement pris par leur jeu et leur fou rire qu'ils n'entendirent pas l'orage arrivé. 10h30La plupart des enfants on peur de l'orage mais ces deux gaillard s'amuser à combattre l'orage par la pensé. Puis d'un coup le chien ce m'est à gémir puis une coupure de courant les surpris en mm temps. Ils se précipitèrent dans leur lit superposé et essayèrent de se calmer. A se moment là une voix sinistre pas humaine cria dans la maison. "Le chien est mort à 11h, et le prochain sera à minuit" puis la voix se tut et la lumière se ralluma. Les enfants terrorisé par se qui venez de se produire essayèrent d'appeler leur parent mais leur ligne était occupé. Ils décidèrent d'attendre et regardèrent leur montre. Il était 11h50, ils se recouchèrent et laissèrent la lumière allumé mais ils on prévu les lampes de torche.11h59 et 30 s les enfants commencèrent à tenir leur lampes contre eux 11h59 et 45 s leur cœur bas la chamade 11h59 et 55 s leur cœur s'arête une fraction de seconde pour ensuite... plus de lumière les petits hurle mais le grand frère lui se tait. Les lumières des lampe électrique ne marche pas il y a un problème le noir et complet. Le petit entend du mouvement mais n'ose pas faire un bruit 0h00 et 30 s la lumière se rallume et d'un coup le petit voit son frère égorger par la poigner de la porte la tête qui regardé vers son petit frère avec des yeux blanc. Le sang avait giclait dans toute la pièce. Le corps du défunt était en train de se couper à partir du cou, on voit même la colonne vertébrale se tendre et s'arracher progressivement. Puis la tête resta sur la poigné et le corps tomba à terre.

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      • Un monsieur, pris de compassion pour un bonhomme de neige , le convia à partager son repas ;il l'installla confortablement,et partit preparer un bon repas.Quand il revint, plus personne "hé bien en voila une personne bien malhonnete, non seulement il ne previent pas de son depart et il a fait pipi partout......................................"^^

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        • Chapitre trois

          Il dût attendre que ses yeux s'habituent à la pénombre avant de pouvoir bouger. Péniblement, Aristan se releva et s'assit sur le bord de sa couchette. Lorsqu'il écarta les grosses couverture, il s'aperçut qu'il était presque nu. D'instinct, il chercha du regard Beleg'Naur mais ne trouva rien d'autre que de la pénombre. Et une paire d'yeux.

          - Ser? Comment vous sentez-vous? La voix était douce et donner presque un goût de miel. Cela faisait une éternité qu'il n'avait pas entendu pareil mélodie, encore plus qu'on l'avait appelé ser.
          - Je... j'ai la tête embrumée, les doigts... engourdis, la bouche... en feu... balbutia le vieil homme. Où suis-je? Pourquoi mes frusques m'ont été enlevés? Où est mon épée?

          Aristan tenta de se lever mais ses jambes se dérobèrent et il s'écroula de tout son poids sur la tommette froide de la pièce. La jeune fille l'aida à se relever et à s'assoir sur la couchette.
          - Vous êtes encore faible, ser. Restez assis et reprenez vos forces. Je m'appelle Nairou, vous êtes au « Buveur Heureux », ajouta-t-elle en lui tendant le plateau. Je vous ai trouvé sous le porche du vieux temple, couvert de neige et de givre.

          Aristan ne lâchait pas du regard la jeune créature qui se tenait devant lui. Cette vision lui réchauffait le coeur. Puis il prit un morceau de pain et l'avala sans presque le mâcher. Il l'accompagna d'une grande goulée de vin épicé qui lui réchauffa le gosier et l'estomac.

          - Doucement ser, vous allez vous étouffer. Puis-je connaître votre nom, ser?
          - Hem, pardon. Aristan se torcha le vin qui coulait avec le revers de sa main droite. Je me nomme... excusez-moi mais cela fait tellement longtemps que je n'ai pas parlé à... une si jolie personne. Aristan, c'est ainsi qu'on me nomme. Aristan de la... enfin j'étais de la maison Guardians. Aristan repris une goulée de vin puis planta son regard dans celui de la jeune serveuse, sans piper mot. Nirou se sentait mal à l'aise et essayait de se soustraire à ce regard gris acier. Maintenant, Aristan voyait plus clair dans cette pièce sombre. Il distinguait une pupitre où étaient posés frusques et épée. Aristan se dirigea vers le pupitre sans un mot.

          Nirou éprouvait un étrange sentiment. Elle était soulagée de voir qu'elle avait sauvé une personne, qui plus est, un ser. Cela avait réveillé en elle ces rêve d'enfance. Elle rêvait de chevaliers, de château, d'une vie d'épouse d'une grande maison. Mais elle était serveuse dans un bouiboui crasseux qui fonctionnait pas trop mal. Elle n'en voulait pas à Marta, sa « mère » adoptive qui avait eu le cœur de la recueillir, mais elle aspirait à mieux. En découvrant les armoiries de ser Aristan, Nirou avait espéré donner un nouveau tournant à sa vie. Elle lui aurait proposé de le suivre dans ses aventures, là où leurs pas les mèneraient. Découvrir le monde, elle qui n'avait pas était plus loin que le bout de la rue était l'un de ses plus grand espoir. Mais devant elle, se dressait un homme vieillissant, fatigué et rustre. Pas une seule reconnaissance de ce que j'ai fait pour lui. Je lui ai quand même sauvé la vie. Qu'il aille au diable!

          Aristan finissait de s'habillait lorsqu'il remarqua la jeune fille perdu dans ses pensées, le visage fermé.
          - Eh! Y a rien à bouffer dans s'te piaule?

          Tirée de ses rêveries comme un doudou à un nouveau né, Nirou lui jeta un regard où se mêlaient indignation et colère. Elle prit le plateau et le posa sur le pupitre.
          - Tenez, c'est tout ce qu'il reste de la soirée. Puis Nirou se retourna et se dirigea vers la porte de l'arriere-salle.

          - Jeune fille, héla Aristan. Heu... Nar... Ni... Nirou, c'est cela? Je voulais dire... Merci.

          Son cœur ne fit qu'un bon. Nirou ne se retourna pas dissimulant un sourire radieux qui éclaira son visage.
          - C'est normal... ser. Sans un mot de plus, elle quitta la pièce.

          ***
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          Serveur: Delaris

          Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

          Caducee - Dévot soin



          Valar Morgulis

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          • ***

            - Cela fait un bout de temps que ça trotte dans ma tête. Je ne sais plus pourquoi je me lève le matin. J'en suis à un point où je ne sais même plus ce que je dois faire.

            Misteriol était affalé sur sa chaise, les yeux plongés dans le liquide brun et mousseux que lui avait servit Marta.

            - Je comprend pas Monsieur Misteriol. Vous avez toujours été présent à Vidalia. N'êtes-vous pas l'aventurier sans peur qui défit les maux dont souffrait notre monde, vous et le Roi Tapamor?

            Misteriol adressait des yeux incrédules à son hôte. Dans son regard se lisait autant de tristesse que d'incompréhension.

            - De quoi parles-tu, femme? Je n'ai jamais fait de quêtes. Je n'ai jamais rien fait d'ailleurs. Je... je ne me souviens pas de ces aventures! Je... je... je ne me souviens de rien...

            Un silence de plomb tomba tel un marteau sur une enclume. Marta le regarda, lui qui avait été, jadis, un grand aventurier. Était-ce possible? Misteriol qui avait consacré sa vie à l'aventure, toutes plus périlleuses et honorables les une que les autres. Comment pouvait-il avoir oublier toute sa vie? Quel maléfice avait pu atteindre cette légende de Vidalia? Marta n'en croyait pas ces yeux. L'homme légendaire qu'était Misteriol n'était plus que l'ombre de lui-même.
            - Et les quêtes avec Albus, ne me dîtes pas que vous ne vous en rappelait pas, lui demanda Marta, presque suppliante.

            Misteriol leva vers la patronne des yeux remplis de bonne volonté, mais il fit non de la tête, avant de rebaisser la tête vers sa choppe. Je suis désolé Marta, dit-il doucement, presque inaudible. Je ne me souviens ni d'Albus, ni de ce qui précède ces quatre dernières semaines.

            Nirou avait assisté à toute la scène. Visiblement, ni Monsieur Misteriol, ni Marta n'avaient remarqué sa présence. Son sourire avait laisser la place à un masque où se mêlait tristesse et compassion. Elle ne connaissait pas ce Monsieur Misteriol en personne. Elle avait entendu maintes histoires épiques et légendes, l'avait vu régulièrement à la taverne mais sans plus. Et pourtant, elle ressentait tellement de tristesse pour cet homme qui avait été, pour sur, quelqu'un d'extraordinaire. Elle était aussi très effrayée par le mal qui rongeait ce pauvre homme. Soudain, Nirou senti dans sa nuque un souffle chaud et épicé. Aristan venait de terminer son repas et se trouvait dans l'embrasure de la porte.

            - Excuse-moi, Nirou, mais faut qu'j'aille pisser. Nirou le laissa passer et alla ranger le plateau. Aristan passa devant Marta et Misteriol et leur adressa un signe de la tête, puis sorti.
            Marta se retourna vers sa fille:

            - Dis donc, t'aurais pu me prévenir qu'il était réveillé. Il a donné un nom?

            - Aristan. Il se nomme Ser Aristan, de la maison Guar...
            - Guardians? Le chuchotement surpris Marta. La maison Guardians, lion gris assis, tenant dans sa gueule un parchemin, sur fond azur. Misteriol récitait ces mots comme une litanie qu'il avait appris dans son enfance, puis oublié. Le temps semblait s'est arrêté. Marta écarquilla de grand yeux, un sourire naissant au coin des lèvres.

            - Vous vous souvenez Monsieur Misteriol, demanda-t-elle plein d'espoir.

            - Me souvenir de quoi?

            - Nirou, va me chercher ce Aristan, il peut nous aider...!

            (chapitre 4 et fin de l'histoire à venir)
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            • Salut à tous!!! c'est Cléante de Titaure et cyclone!!!
              J'adooooooooooooore ce principe des histoires et tout et tout... j'en ai une en plusieurs chapitres, comme l'autre là, si vous voulez ^^ après quelques essais, je pense que je la mettrai ici aussi! mais bon je vais aussi en faire de beaucoup plus courts en attendant!!! Je m'y mets dès demain! ++ et encore merci!!!
              The only limit, is the one you set yourself.
              Cléante

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              • Un jour quelqu'un a dit... que, sur île tropical du sud pousse des pâturage d'hamburger,L'Hambergrass .Qu'il existe une vache qui dégage une odeur de barbecue,un Barbegyuu.Qu'il existe des arbres ou poussent de multiples fruits tropicaux,tels que les papayes,les mangues et les ananas,Les Arbres tropicoco.Et que sur,sur ces arbres,vivent des cigales en gelée au gout fruité qui sucent leurs sévent ,les minmin Jellies . C'est histoire faisaient partie de l’ère des gourmet. Classic lv 61 sur Aurore
                Aimer une femme au petit sein c'est etre plus proche de son coeur
                Guilde:Wildhhunter
                Classic sigpic

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                • Pack du fofo

                  Il était une fois de héros qui fesait que des cours.L'autre etait en acier et lautre en feu et celui qui etait en feu sappelai natsu et celui en acier Gajil et un m.r mistgun arriva et leure dise sa vous dit une mission il faut capturai 9 demon a queus et Gajil a atrapés 6 demon et natsu en a atrapper que 3 et soudain d'un coup il sont devenue tres proche et il sont devenue amis pour la vie .

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                  • un beau jour 3 combattant que le roi tapamor adoré ne s'entendais plus entre eu 1 des 3 partir et partie s'entrainer pour devenir le plus puissant il s'apelait kiesttu un des 2 parti a la recherche de kiesttu et l'autre resta devant la télé , le pc et ne faisait que de bouffer

                    celui qui est parti a la recherche de kiesttu s'apelait Denino et il se renda au temple des jones l'endroi préféré de kiesttu
                    mais il n'y etait pas alor il alla se renseigner oprai de annette,sonia,mysteriode,emai-tej,le haut pretre et meme maltare du goufre des revenant .
                    personne n'a pu l'aidai mais il pensa a un endroit :
                    -mais oui ke sui-je bete j'ai oublié de demander au roi tapamor (kiesttu disai tou o roi). se dit-il soudainement.
                    il s'y rendi et di :
                    -seriai vou ou passait kiesttu .dit il.
                    -il est parti o tombeau sacré.di le roi
                    -vite j'y cour. repondit-il.
                    -pourkoi.sexprime le roi.
                    -le dragon !!!!!! cri Denino
                    -NONNN!!!! vite soldat o tombo sacré!!!! cri le roi
                    ils arrive o tombeau mais s'etai tro tard il estai mort allonger par terre et le dragon a coter de lui.
                    Dans sa colere en criant kiesttu il attake le dragon.
                    -bah je sui le dragon! di le dragon
                    -le chevalier s'arreta et di je le savai.
                    -c toi ki m'la demander di le dragon.
                    -mai non di le chevalier.
                    -mai si di le dragon.
                    .................................................. .................................................. .........................
                    .................................................. ..............................................
                    .................................................. .................................................. .
                    le dragon en avi mart et attaka.
                    les chevaliers l'ataker san relache.
                    il le tua mai pa sans regrai 3/4 d soldat mort dont le chevalier.
                    le roi tapamor estai si deçu ke pendan 4 jour il ne voulai plus sortir de sa chambre.
                    mais il pensa a tou les brave chevalier kil ora plu tard et decida de passer cette mesaven ture.


                    FIN
                    si sa vous a plu dite le moi

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                    • Chapitre quatre

                      La neige avait cessé de tomber et la neige avait quasiment disparue. La petite cour derrière la taverne offrait un abris idéal du vent, malgré le sol instable et les pavés manquants. Dans le fond de la cours, il y avait une petite cabane, étroite. L'on y pouvait à peine y rentrer un canasson. Elle abritait un petit banc en bois, percé en son milieu avec un sceau en étain dessous. A droite de la cabane, il y avait un tas de copeaux de bois – pin, chêne, frêne – surmonté d'une petite pelle.

                      - La grande classe se bourbi finalement, se dit Aristan. Au moins, ce soir je ne pisserai pas dans la neige et la boue. Aristan entra dans la petite cabane, défit ses chausses et s'installa pour se soulager.

                      - Ser Aristan, où êtes-vous? Nirou venait d'arriver dans l'arrière-cour. Elle cherchait des yeux le vieil homme lorsque celui-ci sorti de la cabane. Ah, vous êtes là. La patronne souhaite vous voir à propos de...
                      - Depuis combien de temps suis-je ici, demanda t-il avec animosité. Ca fait combien de temps que tu me retient prisonnier ici? Parle où je t'égorge.

                      La peur avait pris possession de Nirou.
                      - Cela fait une semaine que vous dormez. Une semaine que je vous panse et vous surveille. Une semaine que...
                      - Une semaine, tant que ça? Aristan était déboussolé. Il lui semblait que c'était hier qu'il était arrivé en ville. Il s'aperçut que Nirou tremblait de terreur. Excuse-moi, dit-il en s'approchant. J'ai perdu la notion du temps... et des convenance. Sois remercié de ta bienveillance à mon égard. J'ai une dette envers toi, demande moi ce que tu veux.

                      Nirou semblait aussi perdue que son protégé, mais elle se ressaisi et se rappella les paroles de sa mére.
                      - Ser, ma mére à besoin de vous. Si vous voulez payer votre dette, faite ce qu'elle vous demandera, et nous serons quitte.

                      Un air circonspect apparu le visage marqué de ser Aristan, mais il accepta sans broncher. A l'intérieur, Misteriol continuait à ressasser les même mots. « Maison Guardians, lion gris assis, tenant dans sa gueule un parchemin, sur fond azur ». Il n'était plus assis, mais faisait les cents pas devant la cheminée. Marta l'observait d'un air grave et inquiet. Lorsqu'elle vit le vieil homme entré dans la salle, elle se leva et se dirigea vers lui.

                      - Ser Aristan, c'est bien cela?

                      - Oui madame, répondit aussi poliment que possible le vieux chevalier. Votre fille m'a dit ce que vous aviez fait pour moi, je vous en remercie. S'il y a quoique ce soit que je puisse faire pour vous aider, sur mon honneur, je le ferai.

                      - C'est surtout Nirou qui s'est occupé de vous. Moi je vous aurait laissé dans le froid. N'aime pas les étrangers, encore moins ceux qui crèvent de froid, mais bon. Vous voyez cet homme, demanda-t-elle en désignant Monsieur Misteriol. Il souffre d'un mal inconnu qui lui fait tout oublier. Il est plongé dans une sorte de torpeur qui le rend quasiment inactif. Pourtant il semble connaître votre blason et votre maison. Pouvez-vous parler avec lui, il est possible que ça l'aide à sortir de son état actuel.

                      ***
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                      Serveur: Delaris

                      Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

                      Caducee - Dévot soin



                      Valar Morgulis

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                      • ***
                        Aristan adressa un regard noir à Nirou, puis se retourna vers Marta.

                        - C'est quoi cette histoire, vous vous moquez de moi, déclara t-il dans un rire mêlé de mépris. Je ne suis pas un barde ou un conteur. Je ne suis pas là pour amuser la galerie. J'arpente les chemins du monde, je vais au grès des sentiers, ne me souciant que de moi-même. Aristan se retourna vers Nirou. Si tu n'a rien d'autre à me demander, je quitte cet endroit.

                        Sans laisser le loisir à la serveuse de répondre, il prit se drapa de son lourd manteau, se ceignit de Beleg'Naur et se dirigea vers la sortie.

                        - Ser Aristan, je vous en prie ne partez pas, cria Nirou, courant à sa suite. Sans un regard, le vieux chevalier continua son chemin, atteignant la porte.
                        - S'il vous plais, ser, ne partez pas. Nirou avait réussi à se faufiller entre Aristan et la porte, lui barrant le passage.
                        - Pousse-toi de là fillette. Pousse-toi sinon je devrais te pousser.
                        - Restez encore un moment. Je vous en conjure, supplia Nirou, les yeux remplis de larmes.

                        Aristan la saisie par les épaules et la poussa violemment sur le côté. Nirou s'étala de tout son long, s'écorchant les genoux et le bras droit. Marta, qui avait assisté à la scene sans bouger, se précipita vers sa fille en jurant à l'encontre du vieil homme.
                        - Bidiou, Nirou, tu vas bien?
                        - Ca va, juste quelques ecchymoses. Aristan, s'il vous plais. Aidez-nous.

                        Aristan la toisa de toute sa hauteur, puis franchi la porte. Nirou se releva péniblement. Elle se mit dans l'embrasure de la porte et cria à l'intention du fuyard:
                        - Ser Aristan, chevalier Guardians, en n'honorant point votre parole c'est votre maison que vous déshonorez. Ternissez votre image, si cela vous chante, mais préservez la mémoire de vos pères qui érigèrent cette maison qui, jadis, fut forte et fière. Chevalier Guardians, l'honneur est tout ce qu'il vous reste. Ne le piétinez pas.

                        (dénouement à venir)
                        Dernière modification par Jiben, 13 03 2013, 20h30. Motif: correction orthographe ^^ mais il en reste
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                        Serveur: Delaris

                        Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

                        Caducee - Dévot soin



                        Valar Morgulis

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                        • Ce soir-là, les parents d'Aurélie allaient au théâtre. Ils avaient insisté pour qu'elle vienne avec eux, mais elle avait refusé : L'envie de pouvoir passer une soirée toute seule à l'appartement la tentait trop. Elle avait maintenant douze ans et ses parents n'avaient pas vu d'objection à la laisser seule pour une soirée.
                          Ils étaient déjà partis depuis une bonne heure, et Aurélie était tranquillement installée sur le canapé, occupée à regarder la télé. Posée sur ses genoux, une assiette qui était bien remplie il y a encore peu de temps était maintenant presque vide. Repue, ayant fini de manger, elle posa l'assiette par terre pour que son chien, Floppy, vienne la lécher.
                          Les minutes passaient et Aurélie était toujours hypnotisée par la télé, mais son chien ne venait pas. Finalement, préoccupée par son absence, elle l'appela :
                          « Floppy ?... Floppy ?... Hé mon toutou ! il en reste encore un peu dans l'assiette ! T'en veux pas ? »
                          Mais Floppy n'arrivait pas.
                          Alors Aurélie, un peu inquiète, se leva et regarda autour d'elle : Il n'était pas dans le salon. Elle partit voir dans la cuisine, il n'était pas là non plus :
                          « Floppy ? ... Allez mon p'ti chien ! Tu t'es caché où ? »
                          Elle sursauta quand le téléphone à côté d'elle sonna. Elle hésita juste un instant, puis décrocha :
                          « Allo ?

                          - ...

                          - Allo ? C'est qui ?

                          - Ca va Aurélie ?

                          - Heu... vous êtes qui ? Je ne vous connais pas ?

                          - Mais moi je te connais ! Je connais encore mieux ton chien d'ailleurs... Au fait, tu le cherches ? Tu sais, tu ne risques pas de le trouver, je me suis occupé de lui, puis je l'ai mis dans une cave du sous-sol de l'immeuble. »

                          - Quoi !

                          - Là je suis à côté de lui, et il est un peu mal en point tu sais.

                          - Vous avez fait du mal à Floppy ?

                          - Oh, si peu... Mais maintenant Aurélie, c'est à ton tour : je viens te chercher !»

                          Submergée par l'effroi, elle raccrocha le téléphone.



                          Il allait venir ! Il avait pris Floppy !... Ca n'était pas possible ! Ca ne pouvait pas être vrai ! C'était une plaisanterie ! Floppy devait être encore tranquillement quelque part dans l'appartement !

                          « Floooppyyyyyy ! Alleeezzzz ! Viens ici s'il te plait ! »

                          Elle commençait à courir vers la chambre de ses parents quand la sonnerie du téléphone reprit et lui glaça le sang : Il rappelait.
                          Il n'y avait rien dans la chambre, tout était en ordre, Floppy n'y était pas.
                          Et le téléphone, entêté, continuait de sonner.
                          Aurélie courut alors vers la salle de bain et ouvrit la porte à toute vitesse espérant voir Floppy à l'intérieur : mais elle était vide.

                          Apeurée, elle regarda dans la baignoire, craignant de ce qu'elle aurait pu y découvrir, mais il n'y avait rien non plus.

                          Et le téléphone, obstinément, continuait de sonner.



                          La sonnerie obsédait et stressait de plus en plus Aurélie, elle finit par craquer : Elle couru jusqu'à la cuisine, et nerveusement prit le combiné.

                          « Ca n'est pas très poli de raccrocher au nez des gens, Aurélie.

                          - ...

                          - Tu sais où je suis ?

                          - Heu... n... heu... n... non.

                          - Au rez-de-chaussée, je suis sorti de la cave, et je continue de monter !

                          - Vous... vous... allez... ! Non, j'... j'ai... j'ai peur !

                          - Ah oui ? Tu as peur ? C'est bien ça !

                          - ...

                          - Et tu sais, si tu bouges de chez toi, je redescends et je tue ton chien !

                          - Quoi ! ne faites pas de mal à Floppy, il est gentil ! Il fait de mal à personne ! »

                          Aurélie pleurait, elle tremblait à tel point qu'elle avait du mal à tenir le combiné du téléphone dans sa main.

                          La voix à l'autre bout du fil reprit :

                          - Tu sais Aurélie ?

                          - Nooonnn, arrêêêteeezz, et ne faites pas de mal à Floppy !

                          - Je suis au premier étage maintenant ! »

                          Aurélie fut prise d'une énorme montée de panique : Elle habitait au deuxième étage ! Elle raccrocha le téléphone : Il était tout proche d'arriver.



                          Il fallait qu'elle se cache, elle pensa à aller sous le lit, ou encore dans la baignoire, mais elle se dit qu'il la trouverait facilement dans ces endroits-là.

                          Le téléphone se remit à sonner, le son la fit sursauter.

                          Aurélie avait douze ans et sa petite taille lui donna soudain une idée : Elle ouvrit la porte des placards sous l'évier, et doucement, elle se glissa dedans en poussant tout au fond les bouteilles de produits ménagés. Elle se recroquevilla, arriva à trouver assez de place pour s'y glisser complètement, puis referma la porte de l'intérieur.



                          Et le téléphone continuait de sonner...

                          Et le téléphone n'arrêtait pas de sonner...

                          Et la sonnerie continuait, entêtée, obstinée...

                          Et la sonnerie devenait insupportable !



                          Brusquement, à bout de nerfs, sans réfléchir, elle sortit de sa cachette, et décrocha le combiné. Fauchant ses derniers espoirs d'entendre ses parents au bout du fil, la même voix sinistre reprit :

                          « Quand même ! Tu as fini par décrocher Aurélie.

                          - ...

                          - Tu sais où je suis ? »

                          Aurélie ne répondit pas, elle était pétrifiée, peut-être était-il juste à côté d'elle, là, dans l'appartement.

                          « Je suis au troisième étage, et je viens te chercher ! »

                          La surprise s'empara tout d'abord d'Aurélie : Il ne s'était pas arrêté à son étage ! Il ne s'était pas arrêté au second ! Puis comme un éclair dans sa tête, elle se dit qu'elle avait là une occasion unique pour s'échapper. Sans réfléchir plus longtemps, elle raccrocha le téléphone et se précipita à la porte d'entrée. Doucement et promptement, elle ouvrit la porte et se glissa à l'extérieur : sur le palier il n'y avait personne. Sans prendre plus de temps pour observer les étages, elle descendit l'escalier à toute vitesse. Elle était pieds nus, et l'escalier était froid, mais au moins elle ne faisait pas de bruit.



                          Elle descendit en trombe jusqu'au rez-de-chaussée. Là elle s'arrêta net : elle entendait les gémissements d'un chien provenir de la cave, elle en reconnu le son : C'était Floppy, il était là, en bas. Elle aurait voulu sortir de l'immeuble, puis courir sans plus s'arrêter, mais son petit chien était dans une des caves du sous-sol de l'immeuble, peut être blessé, peut être en train de souffrir, peut être en train de mourir. Des larmes coulèrent sur les joues roses d'Aurélie. Torturée par les plaintes de son chien, elle ouvrit la porte de la cave, et descendit.



                          Elle entendait son chien gémir, de temps en temps il émettait un petit aboiement timide. En se guidant au son, elle finit par trouver la cave : La porte était ouverte, Floppy gisait sur le sol, couché sur le côté, les pattes avant et arrière attachées. Quand il vit Aurélie, il aboya un peu plus fort. Le voir comme ça la fit pleurer.

                          « Bouh ! Floppy... Hmmm... hmmm... hmmmph... je vais te détacher mon petit chien... oh ! mon petit chien... »

                          Elle s'approcha précipitamment vers lui, il aboyait avec force maintenant. Elle s'accroupit à côté de lui, elle commençait à défaire ses liens tout en réfléchissant : Le téléphone sonnait quand il est passé du premier au troisième étage... Mais alors il aurait dû entendre la sonnerie quand il est passé sur le palier ?... Il aurait dû entendre le téléphone sonner ? vu le bruit qu'il fait !... Alors si... si... s'il avait vraiment été dans... l'escalier, pourquoi il...
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                          Des yeux pour discerner le mal, une langue pour dire la vérité, un coeur empli de vertu et une épée pour purger le mal.

                          La force dans ce monde n'est qu'une simple chimère.

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                          • -et c’est ainsi qu’avec une branche de pin tordue à laquelle j’avais accroché un poids de 10 kg que j’ai inventé et la masse, et la canne à pêche.
                            -ouahhhhhhhhhhhhhh !
                            -… (Mr mystériole)
                            -ça n’a pas l’air de vous avoir intéressé ?
                            -c’est sur qu’en entendant une histoire aussi pourrave, on s’endort vite !
                            -Ah mais j’en ai des tas d’autres très intéressantes !!! Savez-vous que j’ai un jour créé le golf en…
                            *la porte claque* *un homme s’assied au comptoir et commande une bière*
                            -il n’y en a plus ! *l’homme fait un signe de désespoir et commande une limonade « limonado » parce que s’il y a limonado, il y a du lolo !!! hahaha (d’accord j’arrête là)*
                            -Vous allez bien mon ami ? (Mr mystériole)
                            -moi ? Ma vie est merdique mais sinon…
                            -vraiment ? Racontez nous…
                            -bah voila… je m’étais levé assez tôt –je suis roto fileur à la clairière des étoiles-, j’attendais tranquillement sous un arbre la pause de 9h30 quand le roi vient faire une inspection des troupes pas loin.
                            -et ?
                            -bah il y a eu un coup de vent et son chapeau s’est envolé… Du coup, j’ai essayé de le rattraper mais comme il allait être hors de porté et bah… j’ai lancé la rotofileuse pour attirer l’air –et donc le chapeau-… et il est passé dans la machine… pas besoin de vous décrire l’état du chapeau quand on l’a ressorti…
                            -hum hum *Mystériole reprend son sérieux*
                            -mais ensuite le roi n’a pas voulu en rester là ! Je devais aller rechercher les éléments nécessaires pour qu’il soit refait pour Sa majesté le magnifique et très haut placé dans l’échelle de la beauté suprême de vidalia roi tapamor. 3 plumes : une de crio-phénix, une de phénix et une de poulpe…
                            -de poulpe ???
                            -eh oui… pour la plume du crio phénix, j’ai perdu 2 doigts du pied gauche et mon petit doigt de la main droite. Pour le phénix, j’ai reçu cette magnifique boule à zéro et pour le poulpe… ha le poulpe…
                            -… ?
                            - *il prend un air d’une tristesse infinie* après avoir été chatouillé par le poulpe volatile pendant 2 heures entières, celui-ci appliqua par maladresse sa tentacule contre mes parties, les aspirants sans espoir de retour…
                            -hum hum…
                            -mais ensuite je devais aller chercher la laine !!! Les seuls moutons que j’ai trouvés étaient les moutons électriques protégés par la faucheuse en personne… du coup, j’ai du marchander et vendre mon âme pour récupéré un mouton, qui m’a électrocuté et en a profité pour s’enfuir…
                            -mon pauvre.
                            -ensuite, revenant bredouille mais surtout très BIPBIPBIPBIP de mes aventures, le roi m’envoya dans les thermes du soleil…
                            -hum… en tant que paratonnerre ? *commence à ne plus pouvoir se retenir*
                            - comment vous l’avez su ? Ils m’ont aussi balancés dans la piscine pour rigoler, mais des pirhanas s’étaient échappés du zoo et…
                            - le marsupilami n’est pas venu ?
                            -si mais dès qu’il a vu ma gueule, il n’a pas arrêté de se marrer en faisant des « houba boubiiiiiiii »
                            -votre histoire m’émeut fort mon cher *en effet, il pleure de rire*, je vais un peu égayer votre journée si vous le permettez…

                            On connait tous les pouvoirs de mystériole, non ? Toujours est-il que Mr.mystériole commencera à s’intéresser un peu plus aux prochaines histoires qui lui seront racontées à partir de ce pauvre hère, que vous pouvez retrouver parfois sous un pommier à la clairière ci-dessus citée.

                            Cléante (cyclone et titaure) voila ^^ ma première petite histoire drôle! j'espère qu'elle vous a plu, même si l'humour me semble un peu lourd parfois... Vous inquietez pas! je peux faire mieux
                            essai numéro: 1
                            The only limit, is the one you set yourself.
                            Cléante

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                            • Chapitre Cinq

                              En un battement de cil, Aristan s'était retrouvé au milieu de la rue. Déterminé qu'il était à quitter cet endroit, il ne pus plus bouger. Les mots lancés par la jeune fille résonnaient dans sa tête. Maison... jadis forte et fière... chevalier Guardians... honneur... tout ce qu'il vous reste...

                              Aristan fut assailli de souvenirs qu'il ne soupçonnait pas. Le visage de son père, Barthan, sa première leçon d'épée, son premier tournoi. Il se revit lors de « la Cérémonie » où il reçu des mains de son pére, le manteau de la maison Guardians, signe de son engagement et don son appartenance au rang de Ser avec droits et devoirs qui lui incombent. Ce temps, qui lui paraissait immémorial, rejailli dans son esprit comme si les événements avaient eu lieu la veille. Son départ pour la quête de l'Ours, première quête d'une longue série qui rythmerai le reste de sa vie. Ses victoires et ses défaites, ses espoirs et désillusions, ses plus grandes joies et pertes, toute sa vie se résumait à ce manteau.

                              Il ne l'a jamais quitté, même lorsqu'il cru se noyer dans un torrent en furie, emmélé dans se long tissu. Plus d'une fois il faillit le bruler lors de combats contre des Feuerelementar – élémentalistes de feu – ou des dragons. Mais pas une fois il ne le quitta. Et aujourd'hui, il était sur le point de le déshonorer.

                              Aristan se retourna vers Nirou et vit que la jeune serveuse, en larme, était à genoux, à quelque mètre de lui. Il se dirigea alors vers et lui tendit la main pour l'aider à se relever.

                              - Nirou. Je... tu as raison. Je ne sais pas ce qu'il m'a prit. Le temps à fait de moi ce que tu vois. Un homme égoïste, sans scrupules. Tout ce que j'ai combattu durant toutes ces années... et pourquoi? Pour devenir ce que tu vois.

                              - Ser..., chuchota la jeune fille en guise de protestation
                              - Ne dit rien belle enfant. Je ne puis me racheter pour le mal que j'ai pu te causer.
                              - Vous pouvez néanmoins essayer en aidant Monsieur Misteriol.
                              - Mais comment? Je ne le connais pas, répondit le chevalier avec impuissance. Comment puis-je aider quelqu'un qui ne sait même pas qui il est ou ce qu'il fait?
                              - Il connait votre manteau, votre maison. On peut commencer par là.

                              Avec l'aide du vieil homme, Nirou se releva et tous deux se dirigèrent vers la taverne où les attendaient Marta, gourdin au poing, mais au regard soulagé.

                              Aristan conduisit Nirou à la table la plus proche. Il arracha un pan de sa chemise et épongea le sang qui coulait le long de ses jambes. Marta revint avec des brocs d'eau bouillante et des linges propres.

                              - Je m'occupe d'elle, ser, lui dit Marta, d'un ton sec.
                              - Pardonne moi, à nouveau, Nirou. Je ferai de mon mieux pour vous aider, toi et ton Monsieur Misteriol.
                              - Merci chevalier, dit la jeune fille, d'une voix si douce qu'elle pourrait apaiser toutes les colères du monde.

                              Aristan se dirigea vers Misteriol qui était assis à même le sol, récitant inlassablement les même mots depuis des minutes.

                              - Vous êtes Monsieur Misteriol, n'est-ce pas?
                              - ... Maison Guardians, lion gris assis, tenant dans sa gueule un parchemin, sur fond azur... Maison Guardians, lion gris assis, tenant...

                              Misteriol ne semblait pas se rendre compte de la présence de ser Aristan. Le chevalier s'assit alors face à lui, enleva son manteau et le présenta, blason visible, à Misteriol.
                              - Je suis Ser Aristan, chevalier de la maison Guardians. Fils de Barthan, petit-fils de Cuchulainn, commença Aristan. Fléau des …
                              - terres isolées du nord, termina Misteriol. Lentement, il releva la tête vers Aristan et le scruta avec des yeux pleins d'interrogations. J'ai entendu parlé de vous. Je me rappelle de votre nom. « Celui qui défit le géant Treki, lors du tournoi du brave ». Ser Aristan, racontez moi vos légendes.

                              Durant toute la nuit, les deux hommes évoquèrent batailles et exploits. Misteriol recouvrait peu à peu la mémoire à mesure que légende s'enchainaient. Marta et Nirou étaient restées en retrait, observant une évolution chez les deux compéres. Les yeux de Misteriol retrouvaient leur lueur d'antan. Elles devinaient même un sourir sous son bandeau de soie bleu marine. Le visage du chevalier se déridait et offrait par moment des sourires et des éclats de rires d'un nouveau-né.

                              - Ser, est-ce vous qui était présent lors la bataille du gouffre crépusculaire? Il me semble que vous vous êtes illustré contre les hordes mené par les trois renégats.
                              - Mon cher ami, je me rappelle de beaucoup de batailles et exploits. Mais je n'y était pas, répondit Aristan.
                              - Êtes-vous sûr de cela? Il me semble bien avoir entendu parler de votre exploit. Avec votre fidéle compagnon Albus, vous avez défié les hordes de Barban, Ramonis et Véga. Lors de cette bataille épique, nous nous retrouvâmes seul contre cette armée et j'eus été contraint de faire appel à...
                              Misteriol s'interrompit brusquement. Marta et Nirou les avaient rejoint, les yeux écarquillés.
                              - Oui? Qu'avez-vous fait, demanda le chevalier, avec un ton plein de malice.

                              Misteriol resta un moment sans voix, regardant tour à tour Aristan, Marta et Nirou.
                              - Je me souviens maintenant. Oh pas de tout mais je me souviens de cette bataille. Lorsque moi et Albus nous combattîmes les renégats et les scellâmes dans le gouffre à jamais. C'était la fin de la guerre. Albus devint le roi Tapamor et moi, son bras droit je suis chargé de...

                              Pendu aux lèvres de Misteriol, Marta, Nirou et Aristan attendirent qu'il finisse sa phrase. Le visage de Marta s'illuminait d'un sourire satisfait tandis qu'une larme coula sur la joue de Nirou et que ser Aristan esquissait un rictus.

                              - Le roi m'a chargé de mener les jeunes aventuriers à travers tout Vidalia pour qu'ils puissent être préparé à affronter l'Ether. Voilà ce pourquoi je suis fait. Je dois transmettre mon savoir pour les nouvelles générations afin qu'elles ne répètent pas les erreurs du passé. Je suis leur guide.

                              Misteriol éclata de rire, suivi par Marta et Nirou. Aristan hocha de la tête, d'un air satsifait. Discretement, il se leva, drapa son manteau et se dirigea vers la porte. Il allait la franchir lorsqu'il senti une main sur son bras.

                              - Vous nous quittez déjà, ser?
                              - Ma quête ici est terminé, mon enfant. Misteriol recouvrira progressivement la mémoire et reprendra très vite ces fonctions. Pour ma part, je reprend la directions des chemins, en quêtes de nouvelles aventures. Aristan se retourna vers Nirou et lui déposa un baiser sur la joue. Merci encore de m'avoir sauvé. Tu m'as sauvé la vie et la mémoire de ma maison. Je t'en serai éternellement reconnaissant.

                              - Si fait. Vous m'êtes donc redevable éternellement si je comprends bien, ser.

                              Le vieux chevalier perçu la malice de Nirou, qui lui rappelait sa propre malice qu'il avait à son age.

                              - Je vous demande qu'une faveur, ser. Emmenez moi avec vous. Le monde n'est pas fait pour une jeune serveuse comme toi, pensait répondre le vieux chevalier, mais il se ravisa. Il interrogea du regard Marta qui lui adressa un long sourire.

                              - Prend le gourdin de ta mère, un balochon et rejoint moi dans l'aprés-midi aux portes de la ville. Je t'y attendrai.

                              Nirou explosa de joie et déposa un gros baiser sur la joue couverte d'une barbe hirsute et grisonnante du vieux chevalier.

                              L'après-midi venu, Nirou quitta sa mère, non sans larmes, et rejoingnit ser Aristan.

                              - Prêtes à affronter le monde, mon enfant?
                              - Prête comme jamais.

                              Aristan et Nirou empruntèrent la route de l'Est, à la recherche de nouvelles aventures.

                              Marta resta dans sa taverne. La clientèle ne désemplissait pas et la taverne s'agrandit. Elle recruta une une autre serveuse, qu'elle éleva comme sa fille.

                              Monsieur Misteriol rendit visite à son vieil ami, le roi Tapamor. Il lui raconta ce qu'il ce passa cette nuit-là au « Buveur Heureux » et reprit son rôle et ses fonctions dans le royaume de Vidalia.

                              FIN


                              HRP: Merci de m'avoir lu. Je voulais partager cette histoire avec vous. J'espére que vous avez prit autant de plaisir à lire que moi à l'écrire. Merci a Greg pour le coup de main nécéssaire à la clôture de cette histoire. A très vite.
                              Jiben
                              sigpic

                              Serveur: Delaris

                              Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

                              Caducee - Dévot soin



                              Valar Morgulis

                              Commentaire


                              • ROBERT !!! UNE BIÈRE POUR LA 4 !!!
                                -vous avez apporté les tripes ?
                                -oui tenez.
                                -(Mr mystériole) mais qu’est ce que vous faites ?
                                -c’est une vieille technique que m’a enseigné un vieux poivrot qui cherchait des œufs de dragons magiques appelés… kofus je croix ou un BIPBIPBIPBIPBIPBIP dans le genre… toujours est-il qu’avec une bière et des tripes de moutons, on peut lire de superbes histoires !!!
                                -… (Il est vraiment BIP, c’est pas possible !)
                                -Oh… mais voilà que l’histoire se dessine…
                                - ?
                                -Un dénommé… Jean… Jean-René, oui c’est ça ! donc que fait-il ce gros lourdaud… Ah mais c’est pas possible ! Quel BIPBIPBIPBIPBIPBIPBIP !!! Mystériole, il est en train de baiser ma femme !
                                -c’est pas mon problème…
                                *claque la porte*
                                -… dites… ce n’est pas censé représenter le futur cette technique ?
                                -(Mr mystériole) Si ! S’il ne s’occupe pas un peu plus de la femme qu’il n’a pas encore rencontrée, elle le trompera sûrement, et c’est ce qu’il a vu.
                                -Il ne l’a pas encore rencontrée ??? Mais pourquoi est-il partit alors ?
                                -*sourit doucement* parce qu’il est un peu BIPBIPBIP je croix… Mais comment connaîtra-t-il une telle femme (elle est superbe !) ? Ça je me le demande…
                                -Attendez ! Cette histoire ce dessine ici…
                                -ah ?
                                Sur une colline tranquille, il regarde, seul, la lune. Tiens ? Une larme. « Je n’aurai jamais cru ça de moi ! ». Il parle tout seul maintenant. « Si seulement je pouvais voir ton visage… ». Il tend une main vers le ciel ! Elle retombe maintenant. Elle semble vouloir s’accrocher mais ne fait que tomber, toujours plus bas… non attendez ! Elle s’est arrêtée à mi-chemin ! Quelqu’un lui tient la main maintenant ! C’est cette femme de tout à l’heure, mais en version « moins belle ». Ils se regardent maintenant… toujours, de ce regard qui perce les âmes… mais attends je croix que…
                                -oui ? *elle est devenue pâle comme un linge, bien qu’un linge soit plutôt blanc*
                                -…je connais cette femme…
                                -en effet.
                                -……. *claque la porte et s’en va en courant*
                                -ah ces jeunes ! Dis Mr mystériole en portant la bière à ses lèvres où se dessine un timide sourire.

                                Cléante. (Cyclone et Titaure) et voila mon second essai ^^ je l'aime bien celui-là, il est un peu plus léger je trouve. Après on a jamais dis que l'histoire devait déja avoir eu lieu non?
                                numéro d'essai: 2
                                The only limit, is the one you set yourself.
                                Cléante

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