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  • #91
    il était une fois 2 jeune héros l'un plus fort que l'autre un jour c'est deux jeune homme fur la découverte du plus trésor
    la pierre de la vie mais il furet la guerre jour et nuit pour se avoir la pierre mais le plus jeune prit le dessus sur le plus vieux
    et il ne se raplai plus que si l'un des deux morait l'autre aussi

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    • #92
      hey mister mysteriole dit moi c'est quoi le soucis? ta la flemme? non mais je reve ont est en pleine crise et toi tu as la flemme c'est la meilleur celle la! Imagine si j'avais la flemme d'allez au boulot, je ne serais pas payer donc je ne peut rien acheter je ne peux pas payer le loyer ... c'est la meme chose pour toi mais en different si tu n'ai pas payer et que tu veux te faire un plaisir tu ne peux pas et puis c'est ton taf pas le notre mdrr allez a plus^^

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      • #93
        Prologue
        L'une des obsessions de l'Homme est de savoir s'il existe une autre forme de vie que la sienne. Bien des théories ont été élaborées afin de répondre au plus grand mystère auquel l'Homme a jamais été confronté. Longtemps il cru que des entités qu'ils nomma, tour à tour, dieux et déesses, êtres surnaturels, puissances de la nature, dirigeaient le monde.

        Au cours de son évolution, l'apparition de la science et de la connaissance permis à l'Homme de comprendre le monde qu'il l'entour. Il envisage son environnement autrement. La question qui domine n'est plus « sommes-nous seul? » mais « où se trouve l'autre? ». La question d'univers parallèles se pose désormais. L'Homme a soif de connaissance et de savoir.

        Cette soif de connaissance oblige l'Homme à toujours aller plus loin dans ces doutes et ses questionnements. Une réponse appelle toujours une nouvelle question. C'est ce questionnement qui est le moteur de l'avancée de l'Homme, telle est sa quête.

        Néanmoins, si l'Homme possède le moyen de mener à bien cette quête de connaissance et de pouvoir, le chemin à emprunter est souvent périlleux et mène l'aventurier inexorablement à sa propre perte.

        L'on dit que le savoir est le pouvoir de l'érudit... mais à quel prix...
        Dernière modification par Jiben, 12 03 2013, 21h30. Motif: correction orthographe
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        Serveur: Delaris

        Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

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        Valar Morgulis

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        • #94
          Chapitre premier

          La neige avait commencé à tomber à lourd flocon, en cette fin d'après-midi. Le ciel gris déclinait et commençait à s'assombrir, annonçant le crépuscule. Il n'y avait pas un bruit. La place de la ville était déserte. Le temps semblait s'être suspendu, tel les jets de la fontaine emprisonnés dans une prison de glace. Des stalactites pendaient des toits des maisons, tels des crocs acérés de géants monstrueux de jadis.

          Troublant la paisible quiétude qui régnait, une ombre traversa la place. Aristan était le nom qu'on lui donna, il y a fort longtemps. Il portait des braies sombres et rapiécées de tissu de qualité médiocre. Ses chausses étaient d'un noir délavées, usée par le temps et les innombrables lieux parcourus. Elles laissait dans leur sillage des traces de pas boueuses dans la neige d'un blanc innocent. Aristan portait un lourd manteau gris doublé en fourrure de loup blanc. Il arborait, dans son dos, un lion gris assis, tenant dans sa gueule un parchemin, le tout sur fond azur. L'antique maison des Guardians, dont Aristan était le premier ser, avait disparue lors de la dernière Grande Guerre Divine, il y a de cela un millier d'années.

          Aristan ceignait à sa taille une longue épée de tournoi nommée Beleg'Naur. La garde est sertie d'onyx incrusté dans de l'orme et du roseau – solide comme roc et légère comme la brise. L'onyx n'était pas une matière noble comme le diamant ou l'or, c'est pourquoi Aristan l'avait choisi. « Ce matériau me ressemble, ni noble, ni tappe-à-l'oeil. Juste froid, austère, utile ». Cette épée en avait vu des batailles, connu des légendes. Aristan gardait constamment la main sur le pommeau de Beleg'Naur, une maniére de le rassurer. Il faut dire qu'il n'est plus aussi alerte et vif qu'avant. Ces cheveux poivre et sels, tombant sur de larges épaules ne trahissaient en rien son grand âge. Seuls ces yeux gris aciers témoignaient de la succession des saisons que le vieux ser dû affronter à maintes reprises. Sa barbe hirsute grisonnante finissait de dépeindre Aristan comme un vieil homme pitoyablement fatigué, que la mort aurait oublié.

          Soudain, un vend violent venant de l'est se leva. Il s'engouffrait dans les moindres failles de votre habillement pour vous glacer les os. Même les flocons semblaient être animé d'une fureure n'ayant pour unique but de vous rendre aveugle et vous arracher la peau du visage.
          - Grr... bidious de temps pour sortir, mon vieux, se dit Aristan. Je déteste la neige et encore plus le vent et le froid. Faut que je m'abrite et vite! Avec son air renfrogné, il leva son cache-col tel un rempart contre l'envahisseur gelé, plongea les mains dans le fond de ses poches et entreprit de trouver un abris.

          Aristan reprit sa marche, en quête de quel-qu'échoppes pour se réchauffer. La ville était vide et le temps rendait encore plus froide et inhospitalières les rues désertes. Après une bonne heure de marche, Aristan repéra un porche sous lequel il pourrait s'abriter du vend. Le froid serait une autre histoire.
          - Quelle bourgade pourrie. Y a même pas une échoppe pour se réchauffer le gosier où une maison de plaisir pour se réchauffer le reste. Vais crever de froid ici, comme un chien abandonné.

          Le vieux ser essaya de se caler au mieux contre la pierre froide. Bien que c'est vêtements ne payaient pas de mine, ils avaient l'avantage de tenir chaud. Du moins ils pouvaient couper du froid tant qu'on restait en mouvement. Mais le vieux Aristan était las. Le froid s'insinuait dans chacune de ses articulations, l'empêchant de garder la moindre position plus de quelque minutes.
          - Vais crever ici, sous ce foutu porche, gromela t-il dans ses laines moites. T'aurais pas dû partir Aristant qu'ils disaient. T'es trop vieux pour arpenter les routes, grand-père . C'est ton dernier voyage. Il est vrai que Aristan était vieux. Il le sentait dans tout son corps. Mais l'appel de l'aventure vivait en lui. Il ne pouvais se résoudre à poser ses affaires et rester dans un coin, à attendre la mort comme une vieille amie. Mais cette fois, il semblerait que la mort lui ait donné rendez-vous sous ce porche.

          Le vend redoublait de violence, soulevant des nuages de flocons qui vous masquaient la vue. Grelottant, fatigué, Aristan se sentait partir, son corps se détendant peu à peu. Il sentait la chaleur de son corps s'échapper, laissant la place au froid qui s'emparer de lui, à la manière d'une morsure d'une dizaine de limiers. La vapeur qui s'échappait de sa bouche se faisait de plus en plus rare et lentement, les paupières se fermèrent sur des yeux gris aciers absents. Aristan cessa de lutter pour s'abandonner au bras glacés de la mort, venu le chercher.
          (chapitre deux à venir...)
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          Serveur: Delaris

          Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

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          Valar Morgulis

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          • #95
            C'est chiant je voulais poster une histoire sur Véga le dément mais il y en a déjà une
            M'enfin je la posterai quand même dans la semaine, je l'ai déjà écrite, il faut que je la tape ^^
            Et pour Kaede qui a fais une histoire sur Véga, no problème je l'ai pas lu pour pas m'inspirer ^^ J'ai juste vu le nom de Véga en fait ^^
            Don't follow a path, make your road.



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            • #96
              Edit de Chatpelier : Merci de penser aux plus jeunes qui lisent ces lignes. Une blague plus légère serait la bienvenue.

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              • #97
                MY GOD! Jiben, tu écris bien, ouille! ^^ Je crois que y a de la concurrence à craindre hi hi hi ^^
                R.I.P Valou <3

                KaedeDarkara, élementaliste, Cytaure.

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                • #98
                  jai une blague c'est toto il est au toilette et sans faire expr"e il sort des toilette et il va a la piscine .

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                  • #99
                    Envoyé par SOSO68 Voir le message
                    il était une fois 2 jeune héros l'un plus fort que l'autre un jour c'est deux jeune homme fur la découverte du plus trésor
                    la pierre de la vie mais il furet la guerre jour et nuit pour se avoir la pierre mais le plus jeune prit le dessus sur le plus vieux
                    et il ne se raplai plus que si l'un des deux morait l'autre aussi
                    il etait une fois spiderman et batman il sauter sauter et narreter jamais donc spiderman a commencer a jouez a Crystal Saga et tout c'est arrenger.

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                    • VENGEANCE NUMERO 3

                      Le mari, sur son lit de mort, appelle sa femme. D'une voix rauque et faible, il lui dit :

                      - "Très bien, mon heure est arrivée, mais avant je veux te faire une confession.

                      - "Non, non, reste tranquille, tu ne dois faire aucun effort".

                      - "Mais enfin, je dois le faire", insiste le mari. Il est bon de mourir en paix. Je veux te confesser quelque chose.

                      - "C'est bon, c'est bon, je t'écoute"lui répond sa femme.

                      - "J'ai eu des relations avec ta soeur, ta mère et ta meilleure amie" confesse le mari.

                      - "Je sais, je sais ! C'est pour ça que je t'ai empoisonné, !!!'' déclare sa femme.

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                      • Une maman et son fils regardent par la fenêtre et la maman observe un oiseau dans son nid :

                        - Oh regarde,Mystériole , la maman oiseau protège ses oeufs.
                        - Mais, non, maman c'est ses bijoux de famille.

                        (Mystériole a une maman, oui,oui)

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                        • Je retente ma chance :

                          Une famille de 2 enfants, Jacques, 13 ans, et Kiki, 8 ans, et d'une maman divorcée, ont déménagés et arrivèrent dans leur nouvelle ville, Troupomé, pour s'installer dans leur nouvelle maison qui était assez grande et confortable mais qui avait une histoire, il y a 5 ans, un meurtre avait eu lieu dans cette maison où toute la famille fut massacrée à coups de hache, de tronçonneuse, et de coups de couteau, ils étaient 3 victimes, le père retrouvé découpé en morceau, la mère égorgeait et le fils qui s'était pris 3 balles dans la tête, mais la nouvelle famille ignorait cette histoire et commença à s'installer en vidant tous les cartons. Le lendemain, Kiki alla dans la garage et trouva une poupée qu'elle trouvait magnifique et l'emporta avec elle pour la mettre dans sa chambre. C'était l'heure de manger et Kiki laissa sa poupée sur une petite commode où elle mettait ses jouets. Quand Kiki finit de manger, elle retrouva sa poupée sur son lit la tête tournait vers la porte de sa chambre, elle eut un frisson, reprit la poupée et la replaça sur sa commode puis descendit les escaliers. La mère débarrassa la table et fit la vaisselle, elle lava un couteau puis entendit le téléphone sonnait, elle alla répondre et le couteau se leva d'un coup et disparu, le coup de téléphone était sûrement une erreur vu que personne ne répondait puis elle continua de faire la vaisselle sans se demander où est le couteau. La nuit tombait, Jacques envoya des SMS à ses amis d'avant puis reçu un SMS qui disait : Ce soir, tu vas mourir. Il eut un grand frisson, éteint son téléphone et alla se coucher comme tout le monde. Puis, la poupée de Kiki se leva devant elle et enfonça ses mains dans ses yeux, les cris se firent entendre et retentirent dans la maison donc, la poupée étrangla la fillette pour qu'elle se taise. Jacques qui entendit les cris de sa soeur se levait d'un coup et fonce vers la porte de sa chambre mais elle fut fermé à clef et quelque chose le jeta par la fenêtre. Et la mère qui fut réveillé par tous ces bruits sorta de la chambre monta les escaliers et elle tomba et vit le couteau qui avait disparu qui retomba sur elle. Personne ne survit et personne sait ce qui s'était passé.

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                          • La présentation de 3 persos ...
                            -Narrateur:Zarrakail un maitre-nain level 11 il est cupide
                            -Zarrakail A non cul-sec
                            -Narrateur: Il a une armure en mitril et un marteau avec un effet boomerang débriable
                            -Zarakail: c'est teche-BIPBIPBIPBIPBIP ça c'est teche-BIPBIPBIPBIPBIP
                            -???: Narrateur tu vas présenté tout le monde comme ça ?
                            -Narrateur: oui toi par exemple, Zehirman Zorlhim level 11
                            -???:c'est quoi un Zorlhim ?
                            -c'est comme un chevalier pyrotechnique
                            -???: un zénagie du feu quoi ?
                            -Narrateur: oui
                            -???: et ça mange quoi ?
                            -Narrateur: charbon, cendre, braise
                            -Zehirman: assez ça c'est censuré ces sens sont censé resté secret
                            -???: a mon tour se me semble
                            -Narrateur: si tu veux , Enoriel elfe barde de level 11 il est égoïste
                            -Enoriel: Quoi !!!
                            -Narrateur: pilleur !
                            -Enoriel: pffff !
                            -Narrateur: on l'appelle Poisse-Grôle
                            -Enoriel: NON, chut,chut,chut,chut
                            -Narrateur: car il aurait vu 50 compagnons lui mourir
                            -Enoriel:au moins , moi j'ai sus quand il fallais fuir
                            -???: tape m'en 5 mon frère de fuite !
                            -Enoriel: pas de familiarité , l'amitié se construit sur plusieurs décennies
                            -???: OH ! l'autre comment il se la pète !!!

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                            • Chapitre deux

                              Le feu dans la cheminée diffusait une lueur qui réchauffait les corps et les cœurs. La petite salle comptait une trentaine de tables, pour la majorité délaissées. Seules choppes et peintes vides se dressaient sur le bois brun des plateaux. Marta, la patronne de l'échoppe du « Buveur heureux », essuyait son comptoir pendant que Nirou, sa fille, débarrassait les derniers vestiges d'une soirée bien arrosée.
                              - Il y avait encore du monde ce soir, adressa la patronne à sa fille. Le temps est propice au réchauffement des corps et des gosiers.

                              Les deux femmes éclatèrent de rire. Marta était une femme dans la force de l'age. Sa chevelure rousse opulente descendait sur des épaules massives. Une multitude de tâches de rousseur avait envahis son visage, n'épargnant que son nez qui trôner, tel un dolmen géant au milieu d'une plaine pâle. Sa petite taille et son embonpoint faisait d'elle une personne aussi chaleureuse que redoutable. En revanche, Nirou, sa fille adoptive, était beaucoup plus svelte. Sa peau hâlée rehaussait sa chevelure d'un noir de nacre. Ses yeux en amande donnent à son regard un brin de malice qui rendait Nirou délicieusement naïve et ravissante. Elle avait été recueillie par Marta, seize ans plutôt. La jeune veuve n'avait pas d'enfant et Nirou, qui n'était qu'un poupon, avait investi le pas de sa porte un soir d'été. Depuis, toutes les deux faisaient marcher la boutique, l'une usant de charme naturelle, l'autre son sens des affaires.

                              - Marta, je peux aller le voir?

                              - Fini de débarrasser les dernières tables, je m'occupe des comptes et des stocks, répondit la patronne. La jeune fille s'exécuta et gagna l'arriére-salle de l'échoppe. Meublé comme une chambre d'hôte, l'arrière-salle était réservée pour l'accueil de personnes importantes. Mais ce soir, l'inconnu qui gisait dans le lit était tout sauf important. C'est Nirou qui l'avait amener à l'échoppe. Elle l'avait trouvé sous le porche de l'ancien temple, groggy de froid, à moitié mort. Telle une soignante, Nirou l'avait défait des ses vêtements en haillons, fait sa toilette et couché sous un monceau de grosses couvertures de laines. Nirou avait également rapproché du lit un brasero qu'elle garnissait régulièrement. A sa grande déception, le plateau qu'elle avait garni à l'attention de son « invité » était resté tel-quel. Le pain, le fromage et l vin épicé n'avaient pas bougé.

                              - Oh mon cher inconnu, vous avez retrouvez quelques couleurs, mais vous n'ouvrez toujours pas les yeux. Si vous pouviez vous réveiller pour me dire votre nom. Nirou soupira puis se dirigeait vers la porte lorsqu'un râle la fit se retourner.

                              - Monsieur? s'écria t-elle. M'entendez-vous? Savez-vous où vous êtes? Pour seule réponse l'homme émit à nouveau un grognement sourd. Marta, apporte de l'eau, je crois que l'étranger se réveille.

                              La patronne arriva avec un gros pichet d'eau et un verre. Nirou repli le verre et versa quelques goutes d'eau sur les lèvres sèches du vieil homme. Les premiéres glissèrent dans la barbe hirsute grisonnante du gisant, mouillant à l'occasion l'épais édredon en plume. Nirou releva la tête du vieil homme et versa à nouveau quelque goutes d'eau. Cette fois-ci, les lèvres s'ouvrirent laissant entrer le liquide frais. L'homme ouvrit progressivement les yeux sur le visage soulagé de la jeune serveuse.

                              - Marta, il se réveille.

                              - Mouais. Garde-le à l'œil, faudrait pas qu'il nous cause des noises. Me plait pas ce type. Essaye d'en savoir plus sur lui et ce qu'il...

                              La sonnette de la porte d'entrée retenti, coupant Marta dans sa phrase.

                              - Bidiou, qui c'est à c't'heure ci, adressa la patronne à sa serveuse. C'est fermé, on a plus rien à boire, hurla Marta à l'attention de l'intrus. Prenant un gros gourdin posé sur l'armoire, elle se dirigea vers la salle de la taverne. Bouge pas ma fille, je vais voir ce qu'il en est.

                              - Je reste avec lui, ne t'inquiète pas.

                              Marta quitta la pièce tandis que Nirou se penchait à nouveau sur l'homme qui émergeait progressivement de son sommeil léthargique.

                              - Qui êtes-vous ser? Je sais que vous appartenait à une grande maison. Je le sait à votre blason et votre épée. Pouvez-vous me dire vôtre nom?

                              Dans la pièce adjacente, Marta était toujours munie de son gourdin et s'approcha prudemment de la silhouette qui avait pris place devant la cheminée.
                              - J'vous préviens, j'ai plus rien à boire. Sortez ou vous tâterez de mon gourdin.

                              La silhouette pivota lentement. C'était un homme qui se tenait là, faisant face à Marta. De petite stature, il portait un masque sur le visage qui laissait apparaître de petit yeux fatigués.

                              - Monsieur Misteriol, s'exclama Marta. Mais que faites vous ici à cette heure tardive?

                              - Je sais qu'il est tard Marta, mais j'avais besoin de venir ici. Je suis pris d'une flemme que je n'explique pas. Puis-je m'assoir à une table, j'ai besoin de te parler.

                              Marta posa son arme contre le mur et lui indiqua une table où il pourrait s'installer. Puis elle se dirigea dans la réserve et en sorti un vieux tonnelet couvert de poussiére, qu'elle posa sur la table, avec deux choppes.

                              - Je vous écoute Monsieur Misteriol, lui dit-elle en remplissant les choppes. A ce moment là, Nirou entra dans la salle, le sourire aux lévres et adressa à Marta et à son invité:
                              - Il vient de se réveiller, il mange. Il s'appelle ser Aristan, de la maison Guardians.


                              chapitre 3 à venir
                              sigpic

                              Serveur: Delaris

                              Cuchulainn - Gardien d'Artegal def

                              Caducee - Dévot soin



                              Valar Morgulis

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                              • Bon pour vous émerveiller je vais créer une histoire du tonnerre! Postée juste avant la fin de l'event! Hihi bah oui le 18 c le seul jour de libre XD ca fera comme le concour de dessin!

                                Bon en tout cas les histoires sont belles ( pour la plupart ) bonne soirée et bonne continuation pour le prochain chapitre
                                !

                                Commentaire

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