Comment débuter cette ode et ces quelques paragraphes sans parler tout d'abord de toi ? De ta sensibilité, de ton infinie gentillesse et de ta candeur si touchante. Sans nul doute es tu la plus estimée et respectée du jeu et cela est bien compréhensible. Toujours présente lorsqu'il s'agit d'aider, de rassurer, de donner de ta personne pour quelque chose que ce soit.
Et voilà que le sort s'acharne,comme toujours, sur la personne qui le mérite le moins. Ah, comme je le hais, parfois, ce monde qui nous entoure, nauséabond à souhait lorsqu'il s'agit de maltraiter ceux qui devraient, bien au contraire, être récompensés par la vie.
Car tu le mérites, Mathilde, Valky, Choupi... tu mérites tellement de jolies choses, aussi jolies que te actes... que ton âme... et comme j'aimerais d'un claquement de doigt pouvoir changer le cours de cette injuste vie, et te dire, là, de vive voix, tous ces mots que je ne peux que coucher sur cette page.
Si la plume était l'outil, plutôt que ce clavier, c'est sans doute une larme que tu verrais là, signature impudique de mon chagrin, de notre chagrin à tous de te savoir là où tu te trouves.
Mais c'est l'espoir, un espoir sans faille qui nous habite sache le... celui de très bientôt te revoir parmi nous... blagueuse, ingénue et pudique comme l'on t'aime.
Oui nous t'aimons, Mathilde et j'espère, nous espérons tous, car même si ces mots sont les miens, les pensées qui les inspirent sont celles de toute la guilde.
Reviens nous vite... très vite... car tu nous manque à tous.
Nous tous... TA guilde.
Et voilà que le sort s'acharne,comme toujours, sur la personne qui le mérite le moins. Ah, comme je le hais, parfois, ce monde qui nous entoure, nauséabond à souhait lorsqu'il s'agit de maltraiter ceux qui devraient, bien au contraire, être récompensés par la vie.
Car tu le mérites, Mathilde, Valky, Choupi... tu mérites tellement de jolies choses, aussi jolies que te actes... que ton âme... et comme j'aimerais d'un claquement de doigt pouvoir changer le cours de cette injuste vie, et te dire, là, de vive voix, tous ces mots que je ne peux que coucher sur cette page.
Si la plume était l'outil, plutôt que ce clavier, c'est sans doute une larme que tu verrais là, signature impudique de mon chagrin, de notre chagrin à tous de te savoir là où tu te trouves.
Mais c'est l'espoir, un espoir sans faille qui nous habite sache le... celui de très bientôt te revoir parmi nous... blagueuse, ingénue et pudique comme l'on t'aime.
Oui nous t'aimons, Mathilde et j'espère, nous espérons tous, car même si ces mots sont les miens, les pensées qui les inspirent sont celles de toute la guilde.
Reviens nous vite... très vite... car tu nous manque à tous.
Nous tous... TA guilde.
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