Tous les vendredis, j'essaierai de vous initier à un manga. Si Yoda était dans le coin, il me dirait de ne pas essayer mais de le faire, mais je m'égare déjà dès le début, ça va pas le faire
Voyons cela comme une sorte de chronique ayant pour but de vous faire découvrir des mangas pas toujours très connus. Vous risquez donc de ne pas voir de Naruto, One Piece etc. ici, à moins que je sois en manque d'inspiration...
Cette chronique sera montée en parallèle avec un autre MJ, probablement Skynix ou bien OreimoSan, qui opèrera le mardi. Double ration donc !
Sans plus attendre...
Date de diffusion : 3 avril 2006 - 25 septembre 2006
Réalisateur : Tomoki Kobayashi
Studio : Oriental Light and Magic (OLM)
Nombre d'épisodes : 26
Pouvant être traduit par "Ce qui est chanté" ou bien en traduction officielle "Le Chant des Rêves", Utawarerumono est à l'origine un jeu vidéo sorti sur PC en 2002 et réadapté sur PS2 en 2006. Nous parlerons ici bel et bien de l'anime. L'anime possède par ailleurs de nombreuses différences avec le jeu original, qui lui comprenait des scènes pour un public adulte et qui sont totalement absentes de l'anime.
Synopsis :
Un homme se réveille dans une maison inconnue. Il ne se souvient de rien sinon de l'image d'une créature infernale. Lorsqu'il s'aperçoit dans un miroir, il découvre un masque sur son visage, masque comme greffé à sa peau et impossible à retirer. Il découvrira un village de campagne a priori paisible mais avec ses petits problèmes quand même. Cet homme, nommé Hakuoro par la fille l'ayant recueilli, va ainsi essayer de trouver sa place dans ce village, jusqu'à ce qu'il prenne part à une révolte contre le Seigneur de la région. Cela finira par attirer de nombreux autres problèmes...
La critique personnelle de Greg :
Sur ce synopsis démarre l'histoire. Dès les premières secondes, on accroche. "Qui est en réalité cet homme ? Pourquoi ce masque ne peut se retirer ? Que se cache-t-il dessous ? Quel est ce monstre dont il rêve et quel est le lien que cela peut avoir avec lui ?" Sous ces questions que tout le monde se posera, on continue à suivre le déroulement du première épisode. Le coup de l'amnésie est un classique, mais il est ici très bien amené et de façon différente avec cette histoire de masque.
Un autre aspect très accrocheur est le chara design. En dehors du héros principal, tout le monde possède des oreilles et une queue d'animaux, pour la plupart différents. Cela renforce cette idée de personnage à part et qui cherchera à se faire une place et à savoir qui il est. Ce look atypique, mêlé aux très bons dessins, rendent le visuel très agréable.
Les musiques sont également enchanteresses. En 26 épisodes, vous retrouverez sur l'OST 2 CD pour un total d'une grosse quarantaine de pistes. Leur qualité est encore plus grande que leur quantité. Une fois l'anime terminé, on a très vite envie de réécouter les musiques qui nous ont tant fait vibrer le long de l'histoire, courte mais intense. En plus de cela, l'opening et l'ending sont tous les deux chantés par la talentueuse chanteuse japonaise Suara. Le morceau Musôka, mais surtout Kimi Ga Tame sont de véritables merveilles.
En ce qui concerne l'histoire, et sans spoiler, elle est vraiment bien déroulée. Certains arriveront peut-être à commencer à la retrouver redondante après la moitié de la série, mais c'est là que s'opèrera un changement complet. Ceux qui auront sauté des épisodes (honte à vous !), se demanderont s'ils sont en train de regarder le même manga. Cela pourra éventuellement déplaire à certains, mais c'est lors des deux derniers épisodes que tout sera réellement dévoilé et que vous comprendrez tout... ou presque ! Car si le scénario de base est assez basique et facile à comprendre, la fin est assez compliquée. Deux ou trois visionnages de la série seront peut-être nécessaires pour répondre aux questions que vous vous poserez. Malgré cela, vous ne pourrez probablement jamais être sûrs d'avoir absolument tout saisi. Peut-être cela est-il un choix des réalisateurs que de vouloir laisser place à l'imagination, mais certains sauront toujours trouver cela frustrant.
Les + et les -
Aspects positifs :
- Chara design et très bons graphismes
- Musiques enchanteresses
- Clichés bien conduits pour une singularité finale
- Accrochage d'entrée
Aspects négatifs :
- Possible redondance de l'histoire à certains points
- Fin difficile à comprendre
Ces deux points négatifs n'en sont pas vraiment, surtout le deuxième, car ils ne toucheront certainement qu'une minorité du public.
Conclusion
Bien entendu, je présenterai certainement des mangas qui m'ont plus et que j'ai donc à recommander. C'est sans surprise que je vous recommande Utawarerumono. Avec seulement 26 épisodes, vous pourrez facilement regarder la série intégralement sans que cela vous prenne énormément de temps. Essayez, vous ne serez pas déçus, et vous ne pourrez que passer un bon moment !
Voyons cela comme une sorte de chronique ayant pour but de vous faire découvrir des mangas pas toujours très connus. Vous risquez donc de ne pas voir de Naruto, One Piece etc. ici, à moins que je sois en manque d'inspiration...
Cette chronique sera montée en parallèle avec un autre MJ, probablement Skynix ou bien OreimoSan, qui opèrera le mardi. Double ration donc !
Sans plus attendre...
Date de diffusion : 3 avril 2006 - 25 septembre 2006
Réalisateur : Tomoki Kobayashi
Studio : Oriental Light and Magic (OLM)
Nombre d'épisodes : 26
Pouvant être traduit par "Ce qui est chanté" ou bien en traduction officielle "Le Chant des Rêves", Utawarerumono est à l'origine un jeu vidéo sorti sur PC en 2002 et réadapté sur PS2 en 2006. Nous parlerons ici bel et bien de l'anime. L'anime possède par ailleurs de nombreuses différences avec le jeu original, qui lui comprenait des scènes pour un public adulte et qui sont totalement absentes de l'anime.
Synopsis :
Un homme se réveille dans une maison inconnue. Il ne se souvient de rien sinon de l'image d'une créature infernale. Lorsqu'il s'aperçoit dans un miroir, il découvre un masque sur son visage, masque comme greffé à sa peau et impossible à retirer. Il découvrira un village de campagne a priori paisible mais avec ses petits problèmes quand même. Cet homme, nommé Hakuoro par la fille l'ayant recueilli, va ainsi essayer de trouver sa place dans ce village, jusqu'à ce qu'il prenne part à une révolte contre le Seigneur de la région. Cela finira par attirer de nombreux autres problèmes...
La critique personnelle de Greg :
Sur ce synopsis démarre l'histoire. Dès les premières secondes, on accroche. "Qui est en réalité cet homme ? Pourquoi ce masque ne peut se retirer ? Que se cache-t-il dessous ? Quel est ce monstre dont il rêve et quel est le lien que cela peut avoir avec lui ?" Sous ces questions que tout le monde se posera, on continue à suivre le déroulement du première épisode. Le coup de l'amnésie est un classique, mais il est ici très bien amené et de façon différente avec cette histoire de masque.
Un autre aspect très accrocheur est le chara design. En dehors du héros principal, tout le monde possède des oreilles et une queue d'animaux, pour la plupart différents. Cela renforce cette idée de personnage à part et qui cherchera à se faire une place et à savoir qui il est. Ce look atypique, mêlé aux très bons dessins, rendent le visuel très agréable.
Les musiques sont également enchanteresses. En 26 épisodes, vous retrouverez sur l'OST 2 CD pour un total d'une grosse quarantaine de pistes. Leur qualité est encore plus grande que leur quantité. Une fois l'anime terminé, on a très vite envie de réécouter les musiques qui nous ont tant fait vibrer le long de l'histoire, courte mais intense. En plus de cela, l'opening et l'ending sont tous les deux chantés par la talentueuse chanteuse japonaise Suara. Le morceau Musôka, mais surtout Kimi Ga Tame sont de véritables merveilles.
En ce qui concerne l'histoire, et sans spoiler, elle est vraiment bien déroulée. Certains arriveront peut-être à commencer à la retrouver redondante après la moitié de la série, mais c'est là que s'opèrera un changement complet. Ceux qui auront sauté des épisodes (honte à vous !), se demanderont s'ils sont en train de regarder le même manga. Cela pourra éventuellement déplaire à certains, mais c'est lors des deux derniers épisodes que tout sera réellement dévoilé et que vous comprendrez tout... ou presque ! Car si le scénario de base est assez basique et facile à comprendre, la fin est assez compliquée. Deux ou trois visionnages de la série seront peut-être nécessaires pour répondre aux questions que vous vous poserez. Malgré cela, vous ne pourrez probablement jamais être sûrs d'avoir absolument tout saisi. Peut-être cela est-il un choix des réalisateurs que de vouloir laisser place à l'imagination, mais certains sauront toujours trouver cela frustrant.
Les + et les -
Aspects positifs :
- Chara design et très bons graphismes
- Musiques enchanteresses
- Clichés bien conduits pour une singularité finale
- Accrochage d'entrée
Aspects négatifs :
- Possible redondance de l'histoire à certains points
- Fin difficile à comprendre
Ces deux points négatifs n'en sont pas vraiment, surtout le deuxième, car ils ne toucheront certainement qu'une minorité du public.
Conclusion
Bien entendu, je présenterai certainement des mangas qui m'ont plus et que j'ai donc à recommander. C'est sans surprise que je vous recommande Utawarerumono. Avec seulement 26 épisodes, vous pourrez facilement regarder la série intégralement sans que cela vous prenne énormément de temps. Essayez, vous ne serez pas déçus, et vous ne pourrez que passer un bon moment !
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